Lucile tient de son père, agriculteur militant, et de sa mère, salariée dans une association culturelle, son envie de s’engager au niveau citoyen et son intérêt pour « l’humain ». Elle intègre une licence-professionelle « métiers de la solidarité internationale » à Bordeaux où elle rencontre Frères des Hommes et monte un projet lié à la question de l’agriculture paysanne au Brésil. Une fois arrivée sur Paris pour suivre ses études en psychologie, elle reprend les contacts avec Frères des hommes dont elle apprécie le côté « familial et égalitaire » et intègre la Pépinière en tant que tutrice. « Pour moi la solidarité internationale… c’est l’entraide, dans les deux sens et sur des plans différents. Il y a aussi le côté différence et acceptation de l’autre, d’accepter que l’autre est différent de soi. »