Après plusieurs séjours en Amérique du sud, c’est l’envie de continuer à agir localement, sur Bordeaux, qui a poussé Marie-Agathe à suivre la Pépinière, très réceptive à « l’idée d’accompagner des porteurs de projets solidaires, pour que ces derniers soient construits et aient du sens. » Pour Ophélie, le fait de qu’elle "travaille beaucoup sur la thématique des quartiers sociaux, implique de tenir compte de l’intérêt général." "Je pense, dit elle, que cela se rapproche un peu de la solidarité internationale : s’adapter à un certain contexte et prendre en compte l’avis des populations concernées".
C’est la "la lutte pour les droits des femmes et contre les violences faites aux femmes" qui a rassemblé Ana et Julie. Originaire du Sud-Ouest, elles étudient à Bordeaux et partagent les "mêmes constats, mêmes indignations et même volonté d’agir pour un changement concret". Après un premier contact avec l’équipe de Bordeaux, elles franchissent le pas pour combler ce désir de s’investir "en grand", avec les femmes en lutte.