C’est par le biais de Marie, une ancienne Pépin et ancienne collègue partie au Pérou, que Thi Hang fait la connaissance de la Pépinière : « Elle nous a expliqué son projet, son parcours. C’est comme ça que j’ai découvert les missions de Frères des Hommes et de la Pépinière et ça me parlait. La solidarité internationale pour moi c’était un ‘gros mot’, je ne connaissais pas forcément, je suis jamais partie à l’étranger dans ce cadre-là. Mais ça me motive énormément. » Avec une double culture, française et vietnamienne, elle voit la solidarité internationale et donc son engagement comme « un échange entre deux cultures. C’est beaucoup de respect, c’est dire qu’on est là pour apporter une pierre à l’édifice sans avoir la prétention de dire que toi tout seul tu peux régler le problème. »