La clé de l’engagement, c’est l’ouverture d’esprit

Récemment devenu Pépin au sein de l’équipe de Nantes, Quentin envisage de partir en Inde pour réaliser un projet avec Fedina pour la promotion des droits des femmes. Il s’est prêté à notre traditionnel interview portrait.

Pour commencer, pourrais-tu nous en dire plus sur toi sous la forme d’un portrait chinois ? Tout d’abord, si tu étais un personnage historique, lequel serais-tu ?

Nelson Mandela. Pour la vie qu’il a eue, son esprit de sacrifice, tout ce qu’il a apporté à son pays. Il a réussi à aller au bout de ce qu’il voulait réaliser.

Un livre ?

Je serais l’Empire des Anges de Bernard Werber. C’est un livre que j’aime bien qui mêle de la fiction et en même temps des théories intéressantes sur les relations humaines, tout en mêlant cela avec un peu de rêve. J’aime bien la manière dont il construit son histoire.

Un loisir ?

Je serais le voyage. Le voyage permet de s’ouvrir l’esprit, de découvrir d’autres cultures, de découvrir le monde dans lequel on vit à travers les paysages. Il y a tellement de diversité à découvrir. On sort de sa zone de confort. Avec le voyage, on évolue d’un point de vue personnel.

Un mot ?

Le bonheur. Être heureux dans ce que l’on fait, c’est le summum à atteindre.

Quel a été le déclic qui t’as orienté vers la solidarité internationale ?

Mon déclic, c’est que je me suis rendu compte que mes actions, si on devait parler de bien-être au regard de l’humanité, n’avaient aucun effet. C’est ce qui m’a ouvert les yeux. La dimension internationale me plaît beaucoup, notamment le fait d’aller à la rencontre d’une autre culture. Cela permet de mettre en perspective notre propre culture et voir ce que d’autres cultures ont à nous apprendre.

Que représente pour toi l’engagement solidaire pour toi et quelles sont tes attentes à travers cet engagement ?

L’engagement solidaire à mes yeux, c’est le fait de s’impliquer personnellement. On va s’impliquer pour assister des populations. C’est une notion de soutien. Cela rejoint la bienveillance. Mes attentes, c’est de pouvoir participer à un projet qui ait du sens, qui m’ouvre l’esprit en allant agir aux côtés de personnes d’une autre culture que la mienne.

Comment as-tu connu la Pépinière et qu’est-ce qui t’as donné envie d’y participer ?

J’ai connu la Pépinière sur le site de France Bénévolat. C’est le côté international qui m’a attiré chez la Pépinière. Ensuite, c’est le fait de pouvoir réaliser et gérer soi-même son projet tout en étant accompagné. Enfin, c’est la possibilité de le faire et qu’en même temps cela soit compatible avec mon activité professionnelle.

Quelles qualités, selon toi, sont à mobiliser et à mettre en avant pour réaliser ton projet ?

À mes yeux, la compréhension, l’ouverture d’esprit et l’écoute sont le socle de départ d’un projet de solidarité internationale. Comprendre une culture différente, c’est essentiel. Ensuite vient l’ouverture d’esprit et l’écoute : il faut, par exemple, écouter le partenaire à l’étranger et les populations locales si elles ont des recommandations. C’est important de les écouter et de les appliquer.

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